- EAN13
- 9782111513235
- ISBN
- 978-2-11-151323-5
- Éditeur
- Insee
- Date de publication
- 06/10/2017
- Nombre de pages
- 8
- Dimensions
- 29,7 x 21 x 0,1 cm
- Poids
- 39 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Résumé :
La zone euro comble
son retard conjoncturel
Le deuxième trimestre 2017 a globalement confirmé la solidité de l’activité mondiale, et le climat des affaires est désormais très favorable, en particulier dans la zone euro et en France, où il a atteint à l’été son plus haut niveau depuis 2011.
Dans ce contexte porteur, la zone euro continuerait de combler son retard conjoncturel et l’activité française se poursuivrait à un rythme solide. La croissance se maintiendrait à +0,5 % par trimestre pour atteindre +1,8 % sur l’année 2017, en nette accélération après trois années autour de 1 %. Les exportations françaises accéléreraient, avec notamment le retour des touristes, sans néanmoins profiter à plein du redémarrage du commerce mondial.
L’accélération des salaires et le dynamisme de l’emploi - malgré le recul des emplois aidés au second semestre 2017 - viendraient en partie compenser la hausse de l’inflation : le pouvoir d’achat des ménages ne ralentirait donc qu’à peine. La croissance serait également soutenue, en 2017, par l’accélération de l’investissement des ménages et des entreprises.
La zone euro comble
son retard conjoncturel
Le deuxième trimestre 2017 a globalement confirmé la solidité de l’activité mondiale, et le climat des affaires est désormais très favorable, en particulier dans la zone euro et en France, où il a atteint à l’été son plus haut niveau depuis 2011.
Dans ce contexte porteur, la zone euro continuerait de combler son retard conjoncturel et l’activité française se poursuivrait à un rythme solide. La croissance se maintiendrait à +0,5 % par trimestre pour atteindre +1,8 % sur l’année 2017, en nette accélération après trois années autour de 1 %. Les exportations françaises accéléreraient, avec notamment le retour des touristes, sans néanmoins profiter à plein du redémarrage du commerce mondial.
L’accélération des salaires et le dynamisme de l’emploi - malgré le recul des emplois aidés au second semestre 2017 - viendraient en partie compenser la hausse de l’inflation : le pouvoir d’achat des ménages ne ralentirait donc qu’à peine. La croissance serait également soutenue, en 2017, par l’accélération de l’investissement des ménages et des entreprises.
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