- EAN13
- 9782490356164
- ISBN
- 978-2-490-35616-4
- Éditeur
- Chemin de fer
- Date de publication
- 08/10/2020
- Collection
- LES PAS PERDUS
- Nombre de pages
- 137
- Dimensions
- 18 x 13,5 x 1,3 cm
- Poids
- 176 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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“Tu es la plus grande erreur de ma vie. J’ai mis au monde ma pire ennemie !”
A-t-on déjà dit avec autant de franchise qu’on avait le droit de ne pas aimer sa mère, même quand la société nous impose d’être une “bonne fille” ?
Rendez-vous au paradis alterne le récit des derniers jours de la mère de Mercedes Deambrosis à l’hôpital de Marseille et le “roman” d’une jeune fille, Guri, dans l’Espagne franquiste.
Face au compte rendu clinique et néanmoins bouleversant d’une vie qui s’achève, se dresse l’histoire d’une famille espagnole au XXe siècle. Et le lecteur de traverser la guerre civile, le franquisme victorieux, la difficile reconstruction d’une nation en proie à l’hypocrisie de la religion.
Cette chronique d’un destin qui épouse l’histoire d’un pays tente de nous faire comprendre comment une mère peut se muer en tyran, comment la relation d’une fille à sa mère qu’elle accompagne jusqu’à son dernier souffle peut, sous couvert de respect et d’une sorte d’amour filial, être nourrie de ressentiment.
Mercedes Deambrosis, dans son premier texte autobiographique, a subtilement réussi à faire le portrait sans fard de celle qui lui aura reproché sa vie durant de ne pas être la fille qu’elle aurait voulu.
A-t-on déjà dit avec autant de franchise qu’on avait le droit de ne pas aimer sa mère, même quand la société nous impose d’être une “bonne fille” ?
Rendez-vous au paradis alterne le récit des derniers jours de la mère de Mercedes Deambrosis à l’hôpital de Marseille et le “roman” d’une jeune fille, Guri, dans l’Espagne franquiste.
Face au compte rendu clinique et néanmoins bouleversant d’une vie qui s’achève, se dresse l’histoire d’une famille espagnole au XXe siècle. Et le lecteur de traverser la guerre civile, le franquisme victorieux, la difficile reconstruction d’une nation en proie à l’hypocrisie de la religion.
Cette chronique d’un destin qui épouse l’histoire d’un pays tente de nous faire comprendre comment une mère peut se muer en tyran, comment la relation d’une fille à sa mère qu’elle accompagne jusqu’à son dernier souffle peut, sous couvert de respect et d’une sorte d’amour filial, être nourrie de ressentiment.
Mercedes Deambrosis, dans son premier texte autobiographique, a subtilement réussi à faire le portrait sans fard de celle qui lui aura reproché sa vie durant de ne pas être la fille qu’elle aurait voulu.
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